Villa Miramar

Le site ? Exceptionnellement inspirant, en tête à tête avec lac et montagnes. L’idée ? Intimement liée à ce site, nourrie du concept « d’architecture organique » développé par l'architecte Franck Lloyd Wright (et concrétisé notamment par sa fameuse « Falling Water House », maison sur la cascade).

Le site ? Exceptionnellement inspirant, en tête à tête avec lac et montagnes. L’idée ? Intimement liée à ce site, nourrie du concept « d’architecture organique » développé par l'architecte Franck Lloyd Wright (et concrétisé notamment par sa fameuse « Falling Water House », maison sur la cascade).

VILLA MIRAMAR (MAISON INSPIRATION FRANCK LLOYD WRIGHT) 


Lieu : Lac d’ AnnecyStade : LivréeTerrain : 1486 m2Type de projet : résidence principaleSurface de plancher : 736 m2


Maison inspirationFranck Lloyd Wright

La demande de départ :

Démolir une grosse construction monolithique et débloquer les espaces d’une grande maison à vivre. Les futurs habitants souhaitaient un habitat minimaliste, résolument contemporain. Une entrée marquée. Une vie à l’étage ouverte au maximum sur la vue de paysage. Un bel espace piscine au rez-de-chaussée. Des intérieurs et extérieurs en étroite relation.

L’environnement à intégrer :

Il s’agissait de profiter au maximum des ressources du terrain, entre lac et montagnes, doté en outre d’un beau jardin paysager et d’arbres nobles et centenaires. Mais également d’implanter une vraie personnalité architecturale dans un quartier résidentiel de demeures multi styles, du chalet maçonné au petit manoir, en passant par des villas plus sobres dont quelques pionnières de l’ossature bois.

L’esprit du projet : 

Les plans horizontaux ( dalles, toits,…) sont articulés les uns aux autres. Pour chacune des pièces, une vue maximale est dégagée avec, pour les entrecouper perpendiculairement et maintenir l’horizontalité des plans horizontaux, l’apport de murs de pierre. Tous ces espaces sont reliés autour de l’entrée centrale, transparente et traversante. A l’arrière, des façades maçonnées préservent du vis à vis avec, de-ci de-là, des fentes de lumière. Et, bien sûr, une orientation panoramique générale est privilégiée : des murs viennent guider l’ensemble vers de vastes baies vitrées à l’avant, dégageant la vue sur le paysage. Et les vitres elles-mêmes se font minimalistes, encadrées le plus discrètement possible et composées selon une trame verticale régulière.

Le jeu du projet : 

Les parois vitrées referment l’ensemble, sans rien cloîtrer. Entre chaque nez de dalles, les vitres s’ancrent de toute leur hauteur. Les balcons vitrés viennent encore, au gré de l’inspiration, apporter de l’éclat aux façades. Toute la maison vibre au rythme de la lumière.

L’intégration à l’environnement :

La maison s’établit au plus haut du terrain, sur le promontoire existant de l’ancienne maison. Là, les volumes se détachent les uns des autres pour suivre la topographie. D’où une composition avec des décalages de hauteur, de toit en toit. D’où également un volume allongé, évitant tout effet monolithe de platitude que pourraient accentuer des toits-terrasses.
Autres initiatives « anti-bloc » : depuis l’intérieur, des débords de toits qui prolongent le regard vers l’horizon et, à l’extérieur, rééquilibrent l’ensemble. Et une végétalisation des toitures, en accord avec la verdure du paysage.

Le travail des espaces :

D’emblée, l’espace accueil, transparent, propulse à l’extérieur, dans le jardin. Comme pour annoncer que, malgré le côté opaque de la maison à l’arrière, partout c’est pleine vue sur le lac et le jardin. L’entrée s’ouvre en outre sur 2 étages et un volume gigantesque. Une transparence dont se joue, au centre, tel un objet sculptural, l’escalier hélicoïdal. Quant à l’ascenseur, il dissimule tout effet cage, caché dans le mur en pierre qui marque le passage de l’extérieur vers l’intérieur.

L’organisation des pièces principales :

Au rez-de-chaussée, priorité au soleil. Un bel espace piscine intérieure et sport s’avance loin dans le jardin. De l’autre côté, règne l’intimité des chambres, enfants ou invités, toutes privatives. A l’étage : l’espace vie. Salon et salle à manger spacieux, cuisine fermée et ouverte en même temps, profitent d’une belle hauteur sous plafond. Une grande terrasse abritée invite à prolonger les moments de partage au dehors. De l’autre côté de ce noyau central, une suite privative sait se retirer dans ses appartements, spacieuse. Au sous-sol : le confort logistique. Tous les espaces utiles à la technique, aux services et aux stationnements sont rassemblées. Rationnels.

La relation dehors-dedans et la lumière-vue :

Où que l’on s’installe, le regard est renvoyé vers l’extérieur. L’exposition naturelle est optimisée du matin au soir. Les façades sont opaques seulement aux endroits où il est bon de se couper des vis à vis (routes, voisinage)

La finition et les matériaux :

Chaque plan de pierre, de béton s’exprime dans sa plus simple forme. Les porte-à-faux des plans horizontaux et les avancées des plans verticaux respectent un juste équilibre. Une épuration de style qui va de pair avec une très haute technicité de matériaux Construire avec Archidomo. Notamment celle des vitrages coulissants, coincés entre sol et plafond sans montants apparents.

La demande de départ :

Démolir une grosse construction monolithique et débloquer les espaces d’une grande maison à vivre. Les futurs habitants souhaitaient un habitat minimaliste, résolument contemporain. Une entrée marquée. Une vie à l’étage ouverte au maximum sur la vue de paysage. Un bel espace piscine au rez-de-chaussée. Des intérieurs et extérieurs en étroite relation.

L’environnement à intégrer :

Il s’agissait de profiter au maximum des ressources du terrain, entre lac et montagnes, doté en outre d’un beau jardin paysager et d’arbres nobles et centenaires. Mais également d’implanter une vraie personnalité architecturale dans un quartier résidentiel de demeures multi styles, du chalet maçonné au petit manoir, en passant par des villas plus sobres dont quelques pionnières de l’ossature bois.

L’esprit du projet : 

Les plans horizontaux ( dalles, toits,…) sont articulés les uns aux autres. Pour chacune des pièces, une vue maximale est dégagée avec, pour les entrecouper perpendiculairement et maintenir l’horizontalité des plans horizontaux, l’apport de murs de pierre. Tous ces espaces sont reliés autour de l’entrée centrale, transparente et traversante. A l’arrière, des façades maçonnées préservent du vis à vis avec, de-ci de-là, des fentes de lumière. Et, bien sûr, une orientation panoramique générale est privilégiée : des murs viennent guider l’ensemble vers de vastes baies vitrées à l’avant, dégageant la vue sur le paysage. Et les vitres elles-mêmes se font minimalistes, encadrées le plus discrètement possible et composées selon une trame verticale régulière.

Le jeu du projet : 

Les parois vitrées referment l’ensemble, sans rien cloîtrer. Entre chaque nez de dalles, les vitres s’ancrent de toute leur hauteur. Les balcons vitrés viennent encore, au gré de l’inspiration, apporter de l’éclat aux façades. Toute la maison vibre au rythme de la lumière.

L’intégration à l’environnement :

La maison s’établit au plus haut du terrain, sur le promontoire existant de l’ancienne maison. Là, les volumes se détachent les uns des autres pour suivre la topographie. D’où une composition avec des décalages de hauteur, de toit en toit. D’où également un volume allongé, évitant tout effet monolithe de platitude que pourraient accentuer des toits-terrasses.
Autres initiatives « anti-bloc » : depuis l’intérieur, des débords de toits qui prolongent le regard vers l’horizon et, à l’extérieur, rééquilibrent l’ensemble. Et une végétalisation des toitures, en accord avec la verdure du paysage.

Le travail des espaces :

D’emblée, l’espace accueil, transparent, propulse à l’extérieur, dans le jardin. Comme pour annoncer que, malgré le côté opaque de la maison à l’arrière, partout c’est pleine vue sur le lac et le jardin. L’entrée s’ouvre en outre sur 2 étages et un volume gigantesque. Une transparence dont se joue, au centre, tel un objet sculptural, l’escalier hélicoïdal. Quant à l’ascenseur, il dissimule tout effet cage, caché dans le mur en pierre qui marque le passage de l’extérieur vers l’intérieur.

L’organisation des pièces principales :

Au rez-de-chaussée, priorité au soleil. Un bel espace piscine intérieure et sport s’avance loin dans le jardin. De l’autre côté, règne l’intimité des chambres, enfants ou invités, toutes privatives. A l’étage : l’espace vie. Salon et salle à manger spacieux, cuisine fermée et ouverte en même temps, profitent d’une belle hauteur sous plafond. Une grande terrasse abritée invite à prolonger les moments de partage au dehors. De l’autre côté de ce noyau central, une suite privative sait se retirer dans ses appartements, spacieuse. Au sous-sol : le confort logistique. Tous les espaces utiles à la technique, aux services et aux stationnements sont rassemblées. Rationnels.

La relation dehors-dedans et la lumière-vue :

Où que l’on s’installe, le regard est renvoyé vers l’extérieur. L’exposition naturelle est optimisée du matin au soir. Les façades sont opaques seulement aux endroits où il est bon de se couper des vis à vis (routes, voisinage)

La finition et les matériaux :

Chaque plan de pierre, de béton s’exprime dans sa plus simple forme. Les porte-à-faux des plans horizontaux et les avancées des plans verticaux respectent un juste équilibre. Une épuration de style qui va de pair avec une très haute technicité de matériaux Construire avec Archidomo. Notamment celle des vitrages coulissants, coincés entre sol et plafond sans montants apparents.


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